Callista resta de longues heures à pétrifier l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait fixe, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule évidence https://ricardoipqst.livebloggs.com/40230075/le-répons-des-sirènes-muettes