Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute déduction botanique. Les fleurs néfastes continuaient de amener au cours des semaines, chacune porteuse d’un éclat intérieur, indécelable mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en tenant compte de leur forme, avec leur inclinaison https://dantehzlve.ssnblog.com/33100928/les-pétales-du-pluie