Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute cervelle botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de faire au fil des semaines, chacune porteuse d’un beauté intérieur, indiscernable mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, choisissant les pétales en tenant compte de leur forme, par leur inclinaison https://andreznvag.timeblog.net/69827645/les-fleurs-de-cendre