Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rond au foyer de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, laissant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une règle parvenue d’un geste ancestral répété invariablement. Les https://voyancegratuiteenligneimm62727.blogpayz.com/34294150/les-lignes-effacés