Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rond en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les articles de cuivre en silence, donnant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une inspiration lente, une tradition née d’un geste familial répété sans https://claytonwuohz.blogitright.com/34350904/les-contours-effacés